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La chasse à l’arc : une pratique controversée
Depuis vingt ans, Pierre Rigaux est un fervent militant écologiste, défenseur de la cause animale. L’abolition de la chasse est l’un des combats au quotidien de ce naturaliste engagé et lanceur d’alerte. L’un des chapitres de son livre, « Pas de fusil dans la nature » (éditions Humensciences), publié en 2019, porte sur la chasse à l’arc. Il y explique notamment les conséquences pour l’animal.
Un regard critique sur la chasse à l’arc
Pierre Rigaux, ancien salarié de la Ligue de protection des oiseaux, critique vivement la chasse à l’arc, qu’il considère comme une pratique plus cruelle que la chasse traditionnelle. Bien que le permis de chasse à l’arc inclue une journée supplémentaire de formation, il estime que cela reste insuffisant pour garantir une mort rapide et sans souffrance pour l’animal. Selon lui, cette méthode, bien qu’encadrée par la loi depuis 1995, entraîne souvent des scènes d’agonie prolongées.
Une pratique perçue comme rétrograde
Pour les opposants à la chasse, la chasse à l’arc est vue comme un phénomène de mode rétrograde qui n’apporte rien de positif. Les arguments avancés par ses partisans, tels que le caractère plus naturel ou propre de cette pratique, sont jugés infondés. En effet, pour être certain de tuer sa cible sur le coup, une formation de trois jours ne suffit pas. Les puristes estiment que le chasseur a le devoir de limiter les souffrances de l’animal et de réduire son stress, ce qui serait incompatible avec la chasse à l’arc.
Les implications éthiques et légales
La chasse à l’arc soulève également des questions éthiques et légales. Bien que légale, elle est critiquée pour son impact sur le bien-être animal. Les défenseurs des animaux, comme Pierre Rigaux, appellent à une révision des lois encadrant cette pratique pour mieux protéger les animaux sauvages. Pour approfondir ces aspects, vous pouvez consulter cet article détaillé.
Vers une prise de conscience collective
Face à ces critiques, il est essentiel de promouvoir une prise de conscience collective sur les pratiques de chasse et leur impact sur la faune. Des initiatives éducatives et des discussions ouvertes pourraient aider à sensibiliser le public aux enjeux éthiques liés à la chasse à l’arc. Pour en savoir plus sur les efforts de conservation et de protection des animaux, visitez le site de la Ligue de protection des oiseaux.
Credits
- Le Parisien – Pour les défenseurs des animaux, la chasse à l’arc crée des scènes d’agonie beaucoup plus atroces
- Le Parisien – En Eure-et-Loir, on chasse en tirant à l’arc
- Ligue de protection des oiseaux
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Jérôme V.
Jérôme Vapillon est co-fondateur de CLEATIS, une agence lyonnaise spécialisée dans le digital qui a récemment lancé le site https://www.archersdevichy.fr/, destiné à devenir une référence dans le domaine du tir à l'arc et d'autres sports de précision. Passionné par les sports de tir depuis son enfance, Jérôme a su allier sa passion à son expertise professionnelle pour créer une plateforme qui sert à la fois de source d'information et de communauté pour les amateurs et professionnels du tir à l'arc. Avant de se lancer dans l'aventure CLEATIS, Jérôme a accumulé une riche expérience dans le marketing digital et la gestion de projet, ce qui lui a permis de développer une approche stratégique et créative dans le lancement de projets numériques. Fan inconditionnel de tir à l'arc, il pratique ce sport occasionnellement, participant à des compétitions locales, et partage son expérience et ses conseils à travers diverses publications sur le site.