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Ski de fond : Ingvild Flugstad Oestberg face à un défi de santé majeur
Ingvild Flugstad Oestberg, une figure emblématique du ski de fond norvégien, se trouve dans une situation délicate. Après une saison d’absence, elle doit reprendre du poids pour obtenir son certificat médical et espérer participer aux compétitions internationales. Les courses d’ouverture de Beitostølen marqueront le début de la saison hivernale, mais Oestberg ne sera pas présente en raison de sa santé fragile. Elle travaille actuellement avec un psychiatre pour évaluer un éventuel trouble alimentaire, ce qui complique ses chances de participer aux Mondiaux de Trondheim en 2025.
Un retour attendu mais compromis
Les courses d’ouverture de Beitostølen, prévues du 22 au 24 novembre, sont un événement clé pour lancer la saison de ski de fond. Cependant, Ingvild Flugstad Oestberg a annoncé qu’elle ne participera pas à cette compétition à domicile. Dans une interview accordée à VG, elle a déclaré : « Je ne vais pas me présenter à Beitostølen », soulignant ainsi l’impact de sa santé sur sa carrière sportive.
Des ambitions mondiales mises à mal
Oestberg avait exprimé son désir de participer aux championnats du monde de Trondheim en 2025. Toutefois, elle reconnaît que ses chances sont désormais minces. « Ça fait mal de le dire mais m’imaginer aux Mondiaux n’est plus réaliste », confie-t-elle avec émotion. Malgré sa détermination, elle admet être loin de sa meilleure forme physique.
Un combat personnel pour la santé
Pour retrouver la compétition, Oestberg doit impérativement reprendre du poids. Elle collabore avec un psychiatre pour déterminer si elle souffre d’un trouble du comportement alimentaire. Cette démarche est essentielle pour obtenir le certificat médical requis par l’Association norvégienne de ski. Elle partage ouvertement ses défis personnels avec ses proches, bien consciente des implications sensibles de son histoire.
Réflexions sur les enjeux de santé mentale dans le sport
Le cas d’Oestberg met en lumière les pressions physiques et mentales auxquelles sont confrontés les athlètes de haut niveau. La santé mentale est souvent un sujet tabou dans le sport, mais il est crucial d’en parler pour sensibiliser et soutenir ceux qui en ont besoin. Comme le souligne Oestberg, partager son expérience peut être bénéfique pour certains, mais potentiellement déclencheur pour d’autres.
Credits
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Jérôme V.
Jérôme Vapillon est co-fondateur de CLEATIS, une agence lyonnaise spécialisée dans le digital qui a récemment lancé le site https://www.archersdevichy.fr/, destiné à devenir une référence dans le domaine du tir à l'arc et d'autres sports de précision. Passionné par les sports de tir depuis son enfance, Jérôme a su allier sa passion à son expertise professionnelle pour créer une plateforme qui sert à la fois de source d'information et de communauté pour les amateurs et professionnels du tir à l'arc. Avant de se lancer dans l'aventure CLEATIS, Jérôme a accumulé une riche expérience dans le marketing digital et la gestion de projet, ce qui lui a permis de développer une approche stratégique et créative dans le lancement de projets numériques. Fan inconditionnel de tir à l'arc, il pratique ce sport occasionnellement, participant à des compétitions locales, et partage son expérience et ses conseils à travers diverses publications sur le site.
