Les tireurs français brillent sur le petit plateau à Châteauroux

Les tireurs francais brillent sur le petit plateau a Chateauroux

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Les JO de Châteauroux : sous un soleil de plomb

Même si les tireurs au plateau utilisent des cartouches, l’expression du jour s’impose à Châteauroux : sous un soleil de plomb ! Cette quatrième des dix journées castelroussines des JO se déroule sous une chaleur caniculaire, avec des températures flirtant avec les 40 °C (38 °C annoncés, 46 °C ressentis). Le défi du jour consiste à dénicher les rares coins d’ombre. Les brumisateurs tournent à plein régime, les éventails s’agitent et les buvettes sont prises d’assaut.

Une Peña Baiona pour saluer Guerrero

Dans cette fournaise, les Français n’ont pas fait d’étincelles. Après une première journée moyenne, le seul tricolore à la fosse olympique Sébastien Guerrero partait de trop loin pour prétendre faire partie des six qualifiés en finale. Il termine 19e (sur 30) avec un total de 119/125 à l’issue des cinq séries de 25. « Devant ma famille, devant un public comme on n’en voit jamais d’habitude, j’ai voulu finir sur une bonne note », confie le Basque ému aux larmes. Sa belle prestation du jour (49/50) lui réchauffe le cœur tout comme la Peña Baiona entonnée par ses fans. Quant à la chaleur, il a trouvé le remède : « Je me suis dit qu’à Los Angeles, il ferait également chaud… ». Rendez-vous en 2028 donc.

Rien de tel qu’un passage sous brumisateur pour se rafraîchir au CNTS de Châteauroux.
© (Photo NR, Thierry Roulliaud)

Les filles dans la fosse

Mélanie Couzy et Carole Cormenier sont entrées en lice dans la matinée mais ont commencé difficilement.

« Pression, chaleur qui accélère le cœur et volonté de trop bien faire ont rendu le début très difficile, » confirme Carole Cormenier, championne du monde 2022. Mélanie Couzy n’a pas souhaité commenter son échec après avoir raté sa première série (19/25), compromettant ainsi ses chances pour la finale.

Soyons clairs : sauf miracle ((1)), il n’y aura pas de médaille française en fosse olympique.

Carole Cormenier a connu un départ difficile qui compromet ses chances.
© (Photo NR, Thierry Roulliaud)

Aperçu sur l’avenir du tir français aux JO

L’équipe française ne brille pas encore mais elle n’a pas abattu toutes ses cartes. Avec Éric Delaunay et Lucie Anastassiou qui entreront bientôt en lice par équipes (détails ici :)source ici!, Guerrero reste optimiste :« Ils peuvent être redoutables. »

N’appellez plus cela ball-trap !

Certaines confusions persistent entre tir au plateau et ball-trap ; pourtant ces disciplines sont distinctes selon Gilles Muller,« Le ball-trap est une discipline non olympique. ». En effet,The plate is an argillette dish propelled by launchers for the Olympic trap and skeet events.

Credits:

  • La Nouvelle République – Sébastien Guerrero article
  • < a href=https://www.lanouvellerepublique.fr/chateauroux/jo-paris-2024-les-tireurs-francais-sur-le-petit-plateau-a-chateauroux >La Nouvelle République – Les tireurs français sur le petit plateau
  • < a href=https://www.lanouvellerepublique.fr >La Nouvelle République – Site principal

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Damien

Damien Rousson, co-fondateur de CLEATIS avec Jérôme Vapillon, est un entrepreneur dynamique et un fervent défenseur du sport comme moyen d'éducation et de développement personnel. Avec une formation en ingénierie et un master en poche, Damien a toujours été attiré par l'intersection de la technologie et du sport. Son intérêt pour les sports de tir, en particulier le tir à l'arc mais aussi les sports d'endurance, l'a conduit à explorer les différentes façons dont le digital peut améliorer l'accès à l'information sportive et encourager la pratique sportive. Damien est également un archer amateur, ce qui lui donne une compréhension profonde des besoins et des désirs de la communauté du tir à l'arc. Il utilise cette expertise pour orienter le contenu et les fonctionnalités de https://www.archersdevichy.fr/, assurant que le site réponde aux attentes des utilisateurs, des débutants aux compétiteurs chevronnés.

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